Toujours au travail ...

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rodney s'approcha du bureau et prit le stylo. Il hésita un long moment. en signant, il allait renoncer à ce qu'il aimait, à passer du temps avec celui qu'il aimait secrètement. A rire de ses bêtises, à faire de nouvelles expériences. Chaque trait de sa signature lui lacérait l'esprit, comme une corde de fil de fer qu'il serrait autour de son cou. Il déglutit, reposant le stylo avant de retendre le formulaire d'un main qui ne se voulait pas tremblante à Elizabeth. voilà...c'était fait. Maintenant il allait se terrer dans ses labos, il allait continuer avec Steve, et oublier John. Il tenait à respecter les volonté du militaire, même s' il ne lui pardonnait pas de ce qu'il lui avait dit. Une part en lui se disait que s'il faisait profil bas, il pourrait regagner l'amitié de Sheppard.

"Et bien...voilà...." lanca-t-il avec un sourire de facade.

" Je vous conseillerai bien quelques personnes, si cela peut vous aider....mais....je vous laisse dire au colonel Sheppard ma décision...ce n'est pas de la lacheté, mais c'est que j'ai maintenant beaucoup de travail et je n'ai pas le temps de le chercher partout dans la base....pas que...vous n'avez pas du travail non...mais ...enfin...bref....je vais y aller..."

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Elisabeth remarqua que Rodney hésitait à signer le document, espérant qu'il ne le ferait pas, mais elle soupira en le voyant faire. Elle repris la feuille et la posa à côté d'elle sur le bureau, pour ne pas oublier d'en faire une photocopie pour le dossier du Canadien. La diplomate écouta sa demande et fut surprise qu'il veuille lui laisser le soin d'en parler à John, alors que c'était son meilleur ami. Mais, elle finit par acquiescer, se laissant avoir par son mensonge, même si quelque chose la chiffonait.

- "D'accord, je lui parlerais à votre place".

Elisabeth se leva et contourna le bureau pour raccompagner Rodney jusqu'à la porte, se doutant qu'il allait partir, soit disant parce qu'il avait beaucoup de travail à faire. Elle le regarda avec douceur, voulant lui montrer qu'il n'était plus devant la dirigeante, mais devant son amie.

- "J'ai l'impression que vous me cachez quelque chose, Rodney, et que la raison invoquée n'est pas la véritable raison ... si vous souhaitez vous confier, je suis là, n'hésitez pas".

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"les choses changent....les personnes aussi...vient un certain moment où l'on dévoile son vrai visage...et parfois, ce vrai visage fait tellement mal, qu'il ne vaut mieux ne plus être près de lui, parce que....ça...fait trop mal" répondit simplement Rodney.

Pour lui il en avait assez dit qu'Elizabeth comprenne, après tout elle n'était pas bête, il n'y avait pas 36 solutions à cette équations. Rodney fit alors quelque chose qu'il ne faisait jamais. Il se rapprocha d'Elizabeth et l'enlaca un court instant avant de sourir mélancoliquement.

2bonne journée Liz"

Il se tourna pour entamer la traversée du pont avant d'arriver en salle de controle et finalement descendre les escalier, jetant un regard à Weir avant de disparaitre dans le couloir.

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Elisabeth écouta Rodney, et compris ce qu'il voulait dire. Elle qui pensait que John et lui étaient encore les meilleurs amis du monde, elle s'était trompée, et comprennait maintenant pour quelle raison le Canadien voulait quitter l'équipe du militaire et souhaitait qu'elle lui parle à sa place. D'un signe de tête, elle lui fit comprendre qu'elle n'en parlerait à personne, et qu'elle le remerciait de s'être un peu confié à elle, bien qu'il ne lui avait pas clairement expliquer avec des mots simples et droit au but. La diplomate fut très surprise quand Rodney la pris dans ses bras, mais elle n'eut pas le temps de tappotter son dos en signe de réconfort qu'il s'écarta rapidement, et sortit de son bureau. Liz le regarda s'éloigner et disparaitre, avant de retourner à son travail, s'occupant de ranger correctement la demande d'affectation du scientifique. Puis, elle se réinstalla sur son siège, et mis un long moment avant de se replonger dans ses dossiers, l'esprit encore occupé et inquiet par son ami.

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L'heure était venu pour Elisabeth de prévenir John, comme Rodney le lui avait demandé. Elle appuya sur son oreillette.

//"Ici Weir, le Colonel Sheppard est attendu dans mon bureau"//

En l'attendant, Elisabeth était très nerveuse, appréhendant la réaction du militaire à ce qu'elle allait lui annoncer.

Depuis qu'il avait mit dehors la jeune lantienne, s'étant montré un peu trop froid avec cette derneire il était resté dans ses quartiers jusqu'à cet appel de la part d'élisabeth. Il avait poussé un long soupir la faisant meme attendre.

//I come.. one minute !//

Au bout de près une demi heure, il arriva seulement, d'un pas nonchalant, limite insolent, ce qui pouvait éttoné élisabeht mais il n'était pas vraiment en état.

"Que puis-je pour vous ?" fit-il en s'affalant dans l'un de ses fauteuils invité.

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Elisabeth attendit un long moment avant que John ne réponde, puis n'arrive. Elle était très surprise de son comportement, qu'elle n'avait jamais vu avant. Elle le regarda s'asseoir, ou plutôt s'affaler, en fronçant les sourcils.

- "John ... je dois vous parler de Rodney".

A l'enonciation du prénom, il releva légérement la tête en laissant échapper un "oh" suivit d'un profond soupir. Qu'est-ce-qu'il avait encore fait ? enfin il essaya de se calmer, car il ne voulait pas que tout le monde soit au courant non plus.

"Oui... c'est à quel sujet précisément"

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Elisabeth regarda John avec suspicion, en entendant son soupir, cherchant à comprendre pour quelle raison il se comportait de cette façon. Elle comprenait mieux maintenant pourquoi Rodney voulait quitter son équipe à cause de lui. Mais, elle se demandait ce qui avait bien pû se passer entre eux, pour qu'ils passent de "meilleurs amis" à "ennemis". Elisabeth pris une profonde inspiration, sachant que ça n'allait pas être facile à dire.

- "Et bien ... Rodney est venu me voir pour me demander une nouvelle affectation ... que j'ai accepté ... il m'a demandé de vous en parler pour vous informer".

Elisabeth resta un instant silencieuse, puis repris la parole.

- "Il a signé une demande d'assignation permanente à la base, et a quitté votre équipe ... bien que j'ai tenté de l'en dissuadé, il n'a pas changé d'avis".

John avait été qq bléssant vis à vis de sa réponse envers Elisabeth... certes d'un côté cela le faisait chier qu'il s'en aille... mais non parce qu'il allait lui manqué... Ô grand non mais surtout parce qu'il n'avait pas eu assez de co*illes au dérrière pour le lui dire en face. Puis au moment de sortir, il se retourna en entendant le murmure de la diplomate. Il était encore très énervé par les heures qui avaient précédés et ça ce fut la goutte qui fit déborder le vase.

"Je vous demande pardon ?"

Il se retourna et avanca de qq pas dans la pièce.

"Vous insinuez que c'est de ma faute s'il est partit de mon équipe ?... il est majeur et vacciné, il fait ce qu'il veut, ce n'est pas moi qui va le retenir !" fit-il en crachant presque ses mots.

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Elisabeth était un peu remonté également, devant l'indifférence de John en apprenant que Rodney quittait son équipe. C'était comme s'il laissait partir le premier venu, et non son meilleur ami ... ou du moins, elle croyait qu'ils étaient meilleurs amis. Mais, d'après ce que lui avait dévoilé le Canadien, elle s'était douté que quelque chose n'allait pas entre eux, mais quoi ? Elle se leva pour être à la même hauteur du militaire, ne se laissant pas intimider.

- "Non, je n'ai pas insinué que c'est à cause de vous qu'il est partit, mais je me pose vraiment des questions ... il est peut être adulte pour décider, mais c'est votre indifférence envers lui qui me permettent de penser que vous y êtes pour quelque chose ... il est l'un de vos plus proches amis, et vous n'en avez rien à faire ... en tant normal, le John Sheppard que je connaissais aurait déjà quitté ce bureau pour aller lui parler et lui demander de revenir sur sa décision ... et vous ? Que faites vous ? Vous le laisser faire sans un mot ... alors, excusez moi de penser que quelque chose s'est passé entre vous, et que vous devez y être pour quelque chose".

John écouta élisabeth avec son air des mauvais jours, il avait même adopté une mimique qui disait "vas-y parle parle j'en ai rien a faire". Une fois qu'elle eut fini, il passa une main sur le visage avant de lui répondre.

"Peut être... oui vous avez raison. Cependant, le John Sheppard que vous connaissiez et toujours là.. mais il a évolué. Après tout les choses changes, on apprend des nouvelles que l'on se serait bien passé. Alors permettez moi de vous dire que s'il ne veut plus être dans mon équipe, certe ça m'empéchera de dormir la premeire nuit mais apres, je m'y ferais très vite une raison, ne vous en faite pas. Sur ce vous avez quelques choses a ajouter ? Ou je peux m'en aller... vaquer à mes occupations !" fit-il avec un fin sourire narquois à la fin avant de le perdre, ses mains posaient sur ses hanches et pour finir ^^ attendant impatiement sa réponse.

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Elisabeth écouta John, en secouant la tête, n'arrivant pas à croire ce qu'elle entendait. Et il y a une autre chose qu'elle remarqua : elle ne pourrait pas le faire changer d'avis, ne l'ayant jamais vu aussi buté ... aussi mauvais. La dirigeante baissa les yeux, ne sachant pas quoi répliquer, car elle sentait que si elle le faisait, la situation allait empirer entre eux. Elle secoua la tête, puis regarda John, abdiquant, lui montrant par son regard qu'il l'avait déçu, elle qui avait toujours eu une haute estime pour le militaire.

- "Non, je n'ai rien à ajouter ... vous avez malheureusement tout dit ... vous pouvez retourner à vos occupations, qui sont certainement plus importante que l'amitié".

A la réplique de la dirigeante, il poussa un las soupir.... mais le pire fut quand il plongea au fond des yeux de la dirigeante, il pouvait lire dedans qu'elle était incompréhensive mais surtout qu'elle était déçu. Et ce regard là... c'était bien le regard qu'il n'avait pas envie de voir aujourd'hui.

"Perfect ! je vais donc m'en aller... quand à vos petit pic comme vous venez de le faire.. ne recommencez pas. Lorsque l'on ne connait pas les raisons exactes qui poussent les gens à devenir ainsi, on se la boucle... si je peux me le permettre. Si ma maniére ne vous plait pas... mettez donc moi un blame dans mon dossier, ce ne sera pas le premeir..."

Il ouvrit la porte.

"Ni le dernier..."

Il sourit légérement en faisant tout de même une petite révérance qui dissimuler une certaine insolence avant de sortir en laissant la porte se fermer d'elle même.
--> somewhere

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Elisabeth regarda John partir, puis ferma les yeux un instant en secouant la tête. Bien sûr qu'on ne pouvait pas juger sans savoir, mais il était plus simple d'expliquer pour que l'autre comprenne. Et comme John ne voulait rien dire, tout comme Rodney, Elisabeth se faisait sa propre opinion, et jugea que c'était très grave ce qu'il se passait entre les deux hommes. Essayant de chasser ces pensées, la dirigeante fit un effort colossal pour se replonger dans son travail là où elle l'avait laissé.

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Quelques jours plus tard, Elizabeth reçut un mail, venant ajouter une autre surprise à la précédente. C'était un mail de rodney. Un mail formel.

Citation :: Rodney McKay
47 Alexander Street
N2C F8E - Canada

Lettre de Démission dans le cadre d'un CDI

Madame,

Par la présente, je soussigné Rodney Meredith McKay, vous informe de ma volonté de démissionner du poste de scientifique en chef de l'expédition Atlantis classée secret défense que j'occupe depuis 2003

Comme il est précisé dans mon contrat, je demande à quitter la base dans l'heure qui suivra la réception de cette lettre. En accord avec les termes, je m'engage à taire toutes informations provenant ou ayant un rapport avec Atlantis ou ses membres.

Veuillez agréer, Madame, l'expression de mes sentiments les meilleurs.
Fait à Atlantis, le 05/11/2008

Rodney McKay

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Autant dire qu'Elisabeth était choquée en lisant ce mail. Elle ne bougea plus, les yeux fixés sur l'écran de son ordinateur, relisant 3 fois le message pour être sûre d'avoir bien compris ce qu'elle voyait. Non, ce n'était pas possible ... après avoir quitté l'équipe de John, voilà que maintenant le Canadien voulait quitter l'expédition Atlantis et retourner sur Terre ... La dirigeante savait bien que quelque chose n'allait pas, et que ça avait un lien avec John, mais ça empirait. Elle soupira et ferma les yeux un instant, se sentant impuissante alors que quelque chose d'anormal arrivait à l'une des personnes qu'elle connaissait depuis un moment, et qu'elle considérait comme un ami. Et celà lui faisait mal de ne rien pouvoir faire. Elle aimerait comprendre, elle voulait savoir ce qu'il se passait, pour quelle raison Rodney voulait d'abord s'éloigner de John, alors qu'ils étaient les meilleurs amis du monde, et maintenant d'Atlantis. Une fois le choc passé, Elisabeth rouvrit les yeux et secoua la tête. Il était hors de question qu'elle accepte cette démission. Elle devait parler à Rodney pour essayer de comprendre pourquoi il souhaitait partir, si le scientifique acceptait bien sûr de se confier ... chose quasiment impossible venant de sa part.

//"Docteur McKay, ici Weir ... je vous attends dans mon bureau immédiatement"//

Le ton sec qu'avait employé Elisabeth prouvait bien qu'elle avait reçu son mail, et qu'elle ne sautait pas de joie.

Carson arriva devant le bureau d'Elisabeth, il devait lui parler du restockage des denrées médicales qui ayant été mal fait, faisait qu'ils commençaient à manquer de certaines choses. Ce n'était pas encore vital mais ça risquait de le devenir dans quelques temps. Il toqua à la porte et fronça des sourcils en entendant son appel radio, surprit par le ton employé.

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Elisabeth venait de finir de passer son message, quand elle leva les yeux, ayant entendu frapper. Elle vit Carson au pas de la porte, qui attendait l'air surpris, sûrement par le ton qu'elle venait d'employer. Quand la dirigeante parlait de cette manière, c'était que quelque chose de grave venait de se passer. En attendant une réponse ou la venue du Canadien, Elisabeth préféra quitter le mail de la démission du scientifique, puis fit un signe de tête au médecin écossais, prenant un ton beaucoup plus calme, bien qu'elle était toujours préoccupée par cette histoire de démission.

- "Vous pouvez entrer, Carson".

Carson entra donc dans le bureau aprés y avoir été autorisé. Il s'assit sur un des fauteuils en face d'elle. Elisabeth était quelqu'un doué d'un énorme self controle mais il voyait bien que quelque chose n'allait pas, et visiblement cela concernait Rodney.

"Est ce que...tout va bien ?"

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Elisabeth eut un petit sourire pour rassurer Carson, mais elle soupira malgré elle.

- "Oui, ne vous inquiétez pas ... tout va bien".

Elisabeth baissa un instant les yeux, restant quelques secondes silencieuse, avant de reporter son attention sur le médecin, non sans jetter un bref à son regard à son PC, bien qu'il n'y avait plus rien à l'écran.

- "C'est juste que ... je souhaiterais m'entretenir avec Mckay à propos de sa ... enfin, de quelque chose d'important le concernant" dit-elle en tentant de garder son calme, mais en vain, une lueur de déception passant dans son regard.

Carson était de plus en plus soucieux, Elisabeth lui disait généralement ce qu'il se passait quand il le demandait, sauf quand c'était vraiment trop personnel. Il se renfonça dans le fauteuil et croisa ses bras sur son torse.

"Rodney ? Pourquoi ? C'est en rapport avec ce qu'il s'est passé ?"

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Ce fut au tour d'Elisabeth d'être suspicieuse. Elle fronça les sourcils aux paroles de Carson, visiblement bien plus au courant qu'elle sur ce qu'il s'était passé entre John et Rodney, et qui avait précipité le retirement du Canadien de l'équipe du militaire, puis de sa démission.

- "Un rapport avec ce qu'il s'est passé ? Qu'est-ce-qui est arrivé ?"

Carson se redressa un peu et secoua la tête.

"Heu...je veux dire...par rapport a...vous savez...l'interrogatoire du capitaine Bryant...et toute l'histoire qui s'ensuit...je sais que c'est assez tendu en ce moment pour Rodney mais je n'ai pas fini mes recherches."

Il secoua la tête.

"Qu'est ce qui se passe Elisabeth ?"

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Elisabeth ne comprenait pas les paroles de Carson. En quoi l'interrogatoire d'Andrew avait-il un lien avec Rodney, et ce qu'il se passait avec John ? Elle se rendait compte que le médecin en avait peut être trop dit, et qu'il cachait des informations sur la vérité, chose qu'elle voulait savoir pour comprendre, et que c'était pour ça qu'il sortait des paroles incohérentes. Mais, de toute évidence, et connaissant le passé amical des deux hommes, la dirigeante voyait bien que Carson était inquiet pour Rodney. Elle secoua la tête et soupira à nouveau. Peut être qu'il arriverait à faire changer le scientifique d'avis et à lui faire entendre raison, là où elle avait échoué.

- "Et bien ... Rodney est venu me voir récemment, pour me demander de le retirer de l'équipe de Sheppard ... et là, je viens de recevoir sa démission de l'expédition Atlantis ... c'est pour ça que je l'ai appellé, parce qu'il est hors de question que j'accepte sa démission, tant que je ne sais pas ce qu'il se passe ici".

» Travail ou glandage ?